Additifs alimentaires La face cachée de l'alimentation transformée
 
 
 
Nutriments naturels
Contre nutriments de synthèse
 

Même si elle a la même structure, une molécule de vitamine E de synthèse vaut-elle sa consœur d'origine naturelle ? Est-elle aussi assimilable ? Quels sont les pièges à éviter en choisissant un complément alimentaire ? Un article de Ghislaine Gerber, conférencière et formatrice en phytonutrition.

Les molécules d'origine naturelle présentes dans les plantes et les règnes naturels peuvent être qualifiées de vivantes. Plusieurs études démontrent qu'elles ont des propriétés biologiques différentes des molécules de synthèse. Les vitamines et les nutriments synthétiques ne sont pas convenablement acceptés par l'organisme, dont le mode de fonctionnement s'est élaboré en plusieurs dizaines de millions d'années sans chimie de synthèse. Ces molécules artificielles sont des corps étrangers souvent indésirables pour le corps qui s'efforce de les éliminer au plus vite à la condition que ses systèmes de défense et d'épuration ne soient pas trop atteints.
Les industries alimentaires et pétrochimiques essaient de faire croire que les nutriments chimiques seraient identiques aux nutriments naturels mais en fait, la chimie de synthèse ressemble à la nature comme une photo ressemble au sujet photographié sans pouvoir en aucun cas le remplacer.
Ce que nous venons chercher en nous rendant dans un magasin de produits naturels ou en consultant un praticien de médecines naturelles, c'est autre chose que ce que le chimie de synthèse nous propose déjà depuis plus de 50 ans. Nous espérons ainsi entretenir notre capital santé en respectant davantage le fonctionnement naturel de l'organisme. Or, est-ce bien raisonnable de consommer des produits bio et dans le même temps d'absorber sous forme concentrée des molécules de synthèse qui sont quelques fois proposées par des naturopathes mal informés ? Heureusement, de plus en plus de responsables de magasins de diététique et de naturopathes deviennent vigilants à l'égard de ces molécules de synthèse, sélectionnent des produits de qualité et informent leurs clients des dangers des faux produits naturels.

Seule la dose fait le poison - Paracelse

Certains nutritionnistes orthomoléculaires ayant montré une trop grande confiance dans les hyperdosages vitaminiques, les consommateurs abusent aujourd'hui de minéraux et vitamines synthétiques bien au-delà des réels besoins journaliers n'imaginant pas une seule seconde que des vitamines et des minéraux puissent fatiguer leur foie. Il conviendra de préférer les marques de compléments alimentaires 100 % d'origine naturelle, dans lesquels les vitamines, oligo-éléments et autres nutriment sont extraits de fruits et de plantes qui sont non seulement mieux assimilés, nécessitant donc des dosages moins élevés mais bien davantage en cohérence avec les réels besoins journaliers de notre organisme.
Trop encore se font piéger par des fabricants qui proposent des "remakes" d'allopathie nutritionnelle avec des dosages déraisonnables de vitamines et de minéraux de synthèse peu assimilables. Or, ce que peu de consommateurs savent, c'est que leurs dosages sont précisément élevés pour compenser leur pauvre degré d'assimilation par l'organisme. Les dosages élevés de tels nutriments de synthèse peuvent même provoquer des déséquilibres, épuisant l'organisme dans ses capacités enzymatiques et dans ses réserves en oligo-éléments pour gérer de tels hyperdosages. Bien des molécules de synthèse sont habilement déguisées en produits naturels sous prétexte que quelques milligrammes de plantes ont été ajoutés, sous un emballage flatteur qui laisse supposer à tort que l'intégralité du produit est composée de substances d'origine naturelle.
De fortes pressions de l'univers pétrochimique ont été mises en œuvre lors de l'élaboration des réglementations en matière d'alimentation et de nutrition pour que soient autorisées de nombreuses molécules de synthèse issues de la pétrochimie, au détriment des nutriments extraits de fruits et de plantes. Le raisonnement selon lequel un produit vendu librement dans le commerce serait forcément d'une totale innocuité ne peut plus être suivi de façon aveugle. D'importantes polémiques font rage notamment à propos de l'abus de certains aliments enrichis en telle ou telle vitamine ou minéral de synthèse au détriment d'autres micronutriments insuffisamment associés. D'autres dénoncent de plus en plus certains édulcorants de synthèse et leurs dangers pour la santé, des conservateurs et bien d'autres molécules qui sont pourtant toutes autorisées, jusqu'au jour où elles seront peut-être retirées du marché pour les évidences des dangers qu'elles auront fait courir pour la santé. En attendant, de nombreuses molécules artificielles continuent de polluer insidieusement ce que nous ingérons.
Heureusement, de nombreux autres aliments et compléments alimentaires élaborés avec des nutriments extraits de fruits, de plantes et autres substances naturelles sont proposés en diététique, encore faut-il savoir lire les étiquetages complexes de ces aliments et compléments.
En matière d'étiquetage, il existe des normes qui imposent aux fabricants d'indiquer la liste totale des ingrédients par ordre décroissant, en plus de la composition analytique, et désormais la quantité de plantes par prise journalière recommandée. Or, Il est facile à ce niveau de débusquer les vrais et les faux nutriments naturels. Il ne faut pas confondre "ingrédients" et "composition analytique". Car l'analyse témoigne de la présence de nutriments (vitamines, minéraux, acides gras, sucres, etc.) mais n'indique pas leur origine alors que la liste des ingrédients quant à elle, permet d'identifier si l'origine naturelle de ces nutriments est bien précisée.

Des clés qui se ressemblent n'ouvrent pas la même serrure. Pour les vitamines aussi, seule la bonne clé ouvre la bonne serrure

Différentes molécules de vitamines ont différentes structures et différentes orientations moléculaires (lévogyre / dextrogyre). Même si elles semblent similaires à l'original, seule l'une d'entre elles, dans la bonne orientation, peut ouvrir le récepteur cellulaire, de la même façon qu'une seule clé peut ouvrir une seule serrure. C'est la vitamine naturelle.

Lévogyre ou dextrogyre ? Une question de "bon sens"

Une vitamine, un minéral, des acides aminés ne poussent pas tout seuls, de façon isolée dans la nature. Soit ils sont extraits d'une plante, d'un sous-produit animal, d'un micro-organisme ou de la terre (règne végétal, animal ou minéral), soit ils sont produits artificiellement. Dans ce dernier cas, ces nutriments sont dénués de la dynamique du vivant. En général, les scientifiques réagissent à cela en répondant : "mais voyons, vitamines naturelles et vitamines de synthèse, il n'y a pas de différence, ce sont les mêmes molécules". Et ce qui est irritant, c'est qu'à cela, par ignorance, on oublie trop souvent de répondre : Molécules naturelles ou de synthèse, si elles ont presque la même forme, elles s'orientent en revanche en sens inverse par rapport à la lumière: soit elles sont lévogyres ou soit elles sont dextrogyres.

La vitamine C naturelle extraite de fruits (dans la cerise acérola par exemple) est lévogyre. Cela signifie qu'elle dévie la lumière polarisée qui est projetée sur elle vers la gauche et s'oriente différemment dans l'organisme lors de son processus d'assimilation. La vitamine C sous forme d'acide ascorbique de synthèse fait en revanche tourner cette lumière polarisée vers la droite. Elle est dextrogyre. Dans le corps humain et devant les récepteurs cellulaires, elle se comporte de façon inverse à l'authentique vitamine C naturelle lévogyre. Ainsi leur qualité et capacité d'utilisation par les cellules ne sont pas les mêmes. Les études montrent que les vitamines de synthèse ne sont pas assimilables de la même façon que les vitamines naturelles car elles n'en sont que de pâles et imparfaites copies, notamment en ce qui concerne leur orientation et sens de rotation. Pour simplifier, on pourrait dire que les molécules de synthèse ne tournent pas dans le bon sens devant les récepteurs cellulaires. Dès lors, les quantités de vitamines artificielles ne devraient plus être comparées de la même façon par rapport aux apports journaliers recommandés.
Absorber 10 mg d'une vitamine E de synthèse dont il a été prouvé qu'elle n'est assimilable qu'à 50 % (1) ne peut pas être comparé à l'absorption de 10 mg de cette vitamine E en version naturelle qui, elle, est bien assimilable à 100 %.
Autre nutriment, autre exemple : la molécule de Proline sous forme naturelle est un reconstituant cellulaire alors que la forme synthétique de Proline d'orientation inverse est un puissant neurotoxique.
« Deux clés qui ont la même forme mais simplement avec un dessin inversé comme par effet miroir, n'ouvrent pas la même serrure » (Dr Christian Tai Schaller, des Ed. Vivez Soleil).

Attention aux échafaudages encombrants

Un nutriment de synthèse a besoin d'un échafaudage chimique pour sa stabilité. Il en résulte que seule une partie du poids du nutriment correspond à la copie de la molécule telle que la nature l'a prévue. Le reste n'est pas assimilable. Une vitamine naturelle est souvent une molécule assez simple. En revanche la copie de cette vitamine sous forme synthétique est un mélange de stéréo-isomères chimiques dont seul l'un d'entre eux correspond à la vitamine d'origine naturelle. Or, les récepteurs humains n'ont que faire de cet échafaudage de synthèse qui devient une substance inutile de plus à éliminer. La partie non assimilable de cette structure de synthèse est composée de substances non reconnues par l'organisme, monopolisant le travail des enzymes dépolluantes (P450) du foie qui ont déjà fort à faire avec tous les poisons de pollution alimentaire et environnementale qu'elles doivent déjà gérer. Si sur l'emballage du produit dans la liste des ingrédients, seule la mention "vitamine ou oligo-élément X", est mentionnée sans qu'il ne soit précisé "d'origine naturelle", c'est qu'il s'agit d'une vitamine ou d'un oligo-élément de synthèse.

La dynamique et la mémoire du vivant

Un nutriment de synthèse n'est pas animé de l'énergie ou du "moteur du vivant" car il ne se présente pas au système d'assimilation humain avec son support vivant d'origine ni avec ses nécessaires co-facteurs.
Le système de biodisponibilité des nutriments pour l'assimilation chez l'homme passe par une "lecture" de ce qu'il absorbe. Cette lecture décompose et déchiffre (comme à un poste frontière) la carte d'identité de l'aliment ou du nutriment apporté : son origine, la transformation et les éventuelles agressions qu'il a subies, la dose de vitalité qu'il apporte.
La lecture pour la reconnaissance de cet élément étranger à l'intimité ou au "soi" de l'homme se fait en référence à notre mémoire cellulaire et en référence à notre système d'histocompatibilité (HLA). La substance apportée est déchiffrée au niveau du noyau cellulaire porteur de l'information génétique de l'aliment. Certaines fractions de l'aliment sont libérées dès le passage dans la bouche et sont assimilées directement dans le sang par voie perlinguale. Il en est ainsi notamment pour les ions oligo-éléments, essences aromatiques. Pour les substances assimilées par voie digestive, notre système de déchiffrage va alors aller chercher dans l'ADN de l'aliment apporté sa compatibilité avec notre capacité d'assimilation en référence à notre propre ADN.
Si cet aliment a par le passé provoqué des réactions négatives ou un choc, soit parce que ce type d'aliments absorbé était systématiquement associé à des polluants, soit parce qu'il a été pris en excès, soit parce qu'il a nui à notre intégrité, il va alors être rejeté avec des manifestations allergiques signant le rejet. Si ce que nous ingérons n'est pas porteur d'ADN (molécule de synthèse), le corps ne sait qu'en faire et en cas de réaction négative, il mémorisera ensuite que cette substance est indésirable et la rejettera ultérieurement.
En Amérique du Nord, quelques années après la grande mode des levures cultivées sur minéraux chimiques, une large partie de la population qui avait consommé ces levures, nourries ou enrichies en sélénite de synthèse, est devenue allergique à toutes formes de levures y compris aux bénéfiques levures Saccharomyces cerevisiae.
N'ayant nul besoin de ces sélénites de synthèse dans leur processus propre de développement, ces levures ont enregistré dans leur propre ADN la toxicité qu'elles ont subie en étant alimentées par ces sélénites chimiques qui ne sont pas une source alimentaire naturelle pour elles mais des poisons portant atteinte à leur ADN cellulaire.
Lors de l'étape de l'absorption chez l'homme de telles levures enrichies, le système de décodage de l'organisme humain a enregistré en mémoire cellulaire que l'ADN des levures était désormais identifié comme source de dangereux toxiques (alimentant l'ADN poubelle dit ADN "junky") et a envoyé des signaux via le système immunitaire afin de rejeter toute structure vivante proche des levures. C'est ainsi que se développent bien des allergies.
Depuis lors, surtout aux Etats-Unis, puis en Europe qui est aussi tombée dans ces manipulations, on a vu fleurir sur tous les emballages de générations suivantes de compléments alimentaires dès les années 90 la mention suivante : "ce produit ne contient pas de levure: no yeast" pour prévenir les allergies. S'ils n'avaient pas ainsi dénaturé ces levures avec de la chimie de synthèse insensée, ce rejet ne se serait pas produit. Pourtant les levures enrichies aux minéraux de synthèse continuent à être proposées, y compris dans certains magasins de produits naturels. Soyons vigilants et lisons bien les étiquettes des aliments et des compléments alimentaires.

La Nature est imbattable

Chaque fois que nous perdons comme référence ce que la Nature peut nous fournir avec son précieux et subtil équilibre vital, nous nous fourvoyons gravement. Cela met 5 ans, 10 ans, 20 ans pour presque systématiquement découvrir que la Nature avait raison et que les abus des apprentis chimistes responsables mais non coupables ont généré comme pathologies graves dont le bilan s'alourdit de plus en plus avec la flambée des cancers notamment. Trop d'industriels jouent aux apprentis sorciers en proposant des nutriments de synthèse privilégiant certaines réactions enzymatiques dans l'organisme au détriment d'autres et, avec chaque produit de synthèse, nous apportons un peu de non-vie, donc un peu de mort, au lieu d'apporter des nutriments porteurs de dynamique vitale.
Les végétaux élaborent des milliers de molécules qui ont toutes un rôle important dans leurs propres processus de défense et elles participent ensemble aux conditions requises pour leur assimilation chez l'homme.
Les plantes ont élaboré des systèmes de protection très performants qui ne se limitent pas à une seule vitamine, voire même à un petit groupe de vitamines. Les composés phytochimiques présents dans les plantes, légumes et fruits réputés protecteurs ont des fonctions de co-facteurs enzymatiques associés aux vitamines, mais ils ont aussi des propriétés antibactérienne, antifongique, anti-oxydante. Ils permettent aux plantes de survivre dans des conditions hostiles où elles ont élaboré toute une stratégie de défense faisant intervenir de façon complémentaire des composés phytochimiques qu'elles ont élaborés pour se protéger. En isoler quelques vitamines est très réducteur et en diminue la portée d'action, alors que les associer lors de la fabrication de compléments nutritionnels qui en réunissent tous les composants correspond davantage aux besoins nutritionnels de la population.
Une alimentation incluant une base significative de végétaux réduit le risque de développement de différentes maladies chroniques. On considère souvent que les antioxydants des plantes contribuent à cette protection, mais les résultats des études montent que chaque antioxydant, pris de façon isolée, n'apporte pas le même bénéfice général que l'ensemble des nutriments fournis par le végétal source.
Une molécule synthétique d'un minéral ou d'une vitamine n'équivaudra jamais au minéral ou à la vitamine d'une plante, d'une algue, d'un champignon ou d'un fruit ou de leurs extraits.
Si pour certaines personnes, selon le niveau de conscience qu'ils ont de leur capital santé, il leur faut parfois passer par le stade grossier de ce type de molécules, elles se rendent compte dès l'étape suivante que le problème, non réglé et momentanément masqué par la prise des molécules de synthèse, surgit à nouveau. Il leur faut alors recourir à une plus authentique voie de soins réellement naturo-hygiénistes et de soutien nutritionnel avec de vrais produits naturels respectant la physiologie.

D'aucuns, ayant généreusement prescrit ces nutriments de synthèse, affirmeront que ces vitamines et minéraux de synthèse apportent pourtant des réactions immédiates, signes d'efficacité. Les produits chimiques à effet iatrogène aussi… Le temps de doper et de duper l'organisme, l'effet leurre peut fonctionner un certain temps avant que le corps ne se rebelle. Il est certain qu'un excitant génère toujours dans un premier temps une réaction apparemment bénéfique: dynamisme superficiel, accélération de rythme, forte élimination avec "chasse intestinale", mieux-être momentané. Mais que se passe-t-il après la tempête ?
Authentique amélioration à long terme ou reproduction accentuée des problèmes ? On peut tout faire dire à des statistiques d'études cliniques conduites chez des sujets observés sur un laps de temps trop restreint !
Les médecins généralistes allopathes peuvent être excusés de leur manque d'analyse critique face aux présentations des études nutritionnelles qui leur sont faites par certaines firmes, parce qu'ils n'ont malheureusement reçu, en 7 années d'études, qu'environ 16 heures de formation en nutrition au total. En revanche, les praticiens spécialisés en nutrition et dans l'approche du terrain, voire les naturopathes qui ont fait le choix de défendre les lois naturelles régissant l'équilibre santé, qui se font forts de mieux connaître les mécanismes de la nutrition, ne peuvent continuer ainsi de promouvoir l'artificiel comme ils le font encore trop souvent, y compris dans certaines écoles de naturopathie où ils recommandent encore des molécules de synthèse, trahissant le concept même de la naturopathie.
Alors, praticiens alternatifs, réagissez ! Si vous conseillez pour l'hygiène de vie de vos patients des produits naturels, épluchez les formulations des produits que vous recommandez, vérifiez que les vitamines, oligo-éléments, minéraux, acide aminés et autres nutriments sont apportés dans les compléments alimentaires par d'authentiques ingrédients naturels, fruits, plantes, algues, légumes, extraits ou concentrés naturellement et que ces nutriments ne sont pas listés isolément dans la liste des ingrédients tels que tocophérols, acide ascorbique, aspartates, bitartrates, gluconates, sulfates thiosulfates, et autres nutriments de synthèse.
Médecins, diététiciens, consultez le dictionnaire Vidal aux pages Saumon (Diététique) ou demandez aux laboratoires les emballages des produits sur lesquels les listes d'ingrédients sont obligatoirement mentionnées afin de savoir de quoi sont précisément composés ces produits avant de les conseiller.   …/…

Ghislaine Gerber

Conférencière et formatrice en phytonutrition, elle participe depuis plus de vingt ans à de nombreuses recherches en nutrition dans une vingtaine de pays.

CONTACT
Ghislaine Gerber
465 chemin des Jalassières,
13510 Eguilles
04.42.95.17.25,
[email protected]

1) Burton, Traber, Acuff, Walters, Kayden, Hughes and Ingold Human Plasma and Tissue Alpha-Tocopherol Concentrations in Response to Supplementation with Natural and Synthetic Vitamin E. Am. J. Clin. Nutr. L'Académie Nationale de Science (aux Etats-Unis) a reconnu que la vitamine E naturelle est deux fois plus puissante et fixée deux fois mieux que la version synthétique.

2) Activité antioxydante des caroténoïdes naturels de l'algue Dunaliella salina comparée aux carotènes de synthèse. Murthy KN, Vanitha A, Rajesha J, Swamy MM, Sowmya PR, Ravishankar GA. Life Sei 2005 Feb 4, 76 (12) 1381 - 90 Epub 2005 Jan 18 Plant Cell Biotechnology Department, Central Food Technological Research Institute, Mysore 570020, India. Les résultats démontrent clairement l'effet bénéfique des caroténoïdes d'algue précurseurs de la vitamine A comparativement au carotène synthétique.

 
  Source : magazine BioContact, 11 janvier 2008. In Biorespect.com.
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